En analysant la situation, il fait le constat que le besoin en informaticiens croit et que les offres d’emplois correspondantes restent illimitées, mais qu’en parallèle, des milliers de demandeurs d’emploi, chômeurs de longue durée ou jeunes diplômés arrivant sur le marché du travail, ne signent aucun contrat de travail.
En créant la méthode VDE Mathieu Sbai veut gommer l’inéquation entre l’enseignement classique dispensé en université et le besoin des entreprises en termes de Technologies de l’Information.
Pour dispenser cette méthode de manière démocratique, il va créer le Village de l’Emploi ou VDE, lieu d’apprentissage « démocratique » s’il en est, ce dernier ouvre gratuitement ses portes à tous les titulaires d’un bac+2, sans autre critère de sélection que leur (sur)motivation et affiche un taux d’embauche de 100 % des candidats sortants.
Le Village de l’emploi, véritable concept de l’entreprise citoyenne
Le Village de l’emploi représente :
- un chemin direct entre les études et la vie professionnelle, et
- une solide expérience d’ordre professionnel,
tentant de supprimer le gouffre entre les connaissances des jeunes diplômés IT issus de l’enseignement universitaire et les besoins réels des entreprises.
En priorité, ce sont donc les étudiants formés dans les écoles réservées à l’élite qui intègrent rapidement les entreprises afin de participer à leurs projets IT.
Le Village de l’emploi casse ces codes et se démarque de ce type de lieux et de formation.
Le programme élaboré par Mathieu Sbai comble les lacunes de l’enseignement des universités, supprime la redondance des informations scolaires et favorise le contact des étudiants avec les acteurs de l’entreprise, tels que les partenaires employeurs du VDE, les coachs en communication et les formateurs.
Cette association est la base de la méthode VDE. Elle s’inscrit en complément du cursus scolaire propre à chacun.
La méthode d’apprentissage enseignée dans les VDE va alors s’adapter aux plus jeunes, c’est la naissance de la méthode Aleph.
La méthode Aleph, la réussite pour tous
Novatrice et jumelle du programme VDE, la méthode Aleph ignore les standards éducatifs imposés aux plus jeunes. Elle prodigue de solides connaissances en fonction des capacités de chaque enfant et pour cela, elle prône un enseignement ludique et tisse des liens positifs.
Dans un premier temps, cette méthode d’apprentissage mène à la réussite scolaire et dans un second, à une intégration rapide et efficace dans le monde de l’entreprise.
La méthode Fahm3, un gain de temps évident
Destinée aux enfants de 4 à 15 ans, la méthode Fahm3 voit le jour sous l’impulsion d’Hugo Sbai, qui, sans être surdoué, décroche son bac très jeune, à l’âge de 12 ans. Lorsqu’il obtient son doctorat en informatique à l’âge de 20 ans, il décide avec son père, que cette méthode d’apprentissage est synonyme de chance et doit pouvoir bénéficier à un maximum d’enfants.
Fahm3, en période d’essai
La méthode Fahm3 en est encore au stade des prémices. Il est nécessaire de formaliser le programme de chaque matière afin de créer des manuels éducatifs, mais aussi d’éprouver la méthode. Pour cela, des jeunes volontaires, filles et garçons d’âges et d’horizons différents, non surdoués, se prêtent à un apprentissage d’essai.
Fahm3, des objectifs sous forme d’avantages
Les objectifs visés sont aussi des avantages :
- accroître la motivation des jeunes pour les études en réduisant leur durée ;
- avoir accès à des notions intéressantes dès son plus jeune âge ;
- décrocher son bac jeune et gagner 4 à 5 ans ;
- être diplômé d’un master 2 à l’âge de 19 ans au lieu de 23 ans (en moyenne) ;
- entrer plus tôt dans sa vie professionnelle ;
- ne pas limiter ses compétences à un seul domaine ;
- ne pas atteindre les études supérieures à un âge limite ;
- réduire le nombre de niveaux scolaires pour offrir de meilleures conditions de travail aux enseignants.
Outre son rôle primordial dans ces différentes méthodes d’apprentissage, un portrait professionnel de Mathieu Sbai ne serait pas complet sans évoquer quelques-unes de ses autres missions.
Mathieu Sbai, des qualités professionnelles hors normes
Tout en jouant un rôle primordial dans la relocalisation de projets depuis la Chine vers l’Europe et l’Afrique du Nord, Mathieu Sbai crée l’association Hand to Hand et participe à différentes missions en tant que consultant AMAO. Il évolue sans aucune difficulté dans chacune de ces situations, sans jamais remettre en question ses valeurs essentielles, telles que la transparence, la solidarité et la bienveillance.
Le rôle associatif
Mathieu Sbai affiche une nouvelle vision et un nouveau concept de l’œuvre humanitaire en créant l’association Suisse Hand to Hand.
Hand to Hand, Mathieu Sbai change la donne
Afin de se démarquer des associations similaires et d’éventuels détournements de dons, Mathieu Sbai établit une relation de confiance avec les donateurs de l’association Hand to Hand. Pour cela, il leur donne libre accès aux transactions, assurant qu’elles financent uniquement des actions bien réelles dans le domaine de l’éducation ou le secteur médical, dans des constructions pour améliorer le quotidien et les conditions de vie, pour avoir accès à l’eau et à suffisamment de nourriture.
En souhaitant se diversifier des autres associations et des éventuels conflits financiers qui les impactent, Mathieu Sbai fonde Hand to Hand sur ses valeurs d’honnêteté et de partage, et sur ses envies de totale transparence et de communication.
Hand to Hand, Mathieu Sbai joue le rôle d’expert
Mathieu Sbai participe activement à l’élaboration des procédures, établies pour apporter un fonctionnement satisfaisant. La mise en relation entre donateurs et bénéficiaires a demandé l’élaboration et le développement d’une plateforme. Cette application généralise l’approche et positionne Hand to Hand sur le devant de la scène en matière de transparence des dons, mais aussi de références sur la sécurité.
L’assistant à la maîtrise d’ouvrage (AMOA) et assistant à la maîtrise d’œuvre (AMOE)
Avec des qualités professionnelles tout à fait exceptionnelles, Mathieu Sbai va devenir l’un des consultants en Technologies de l’Information (IT) mondialement reconnu dans son domaine et va à ce titre, s’investir dans de nombreuses autres missions en tant qu’AMAO/AMAE.
Définition et rôle
En tant qu’AMOA/AMOE, Mathieu Sbai est un professionnel aguerri dans le secteur de l’informatique d’entreprise. Il organise, coordonne et déploie les projets qui, selon ses capacités peuvent se situer à l’échelle internationale. L’AMOA/AMOE est en relation directe avec les équipes de développement. Il s’assure du respect du cahier des charges et gère les actions pour un résultat abouti au moment du déploiement.
Il est en charge de la relation directe avec le client et coordonne la sous-traitance en s’assurant du suivi des consignes.
Prérogatives et missions
En tenant compte des divers facteurs, l’AMOA/AMOE intervient à différents niveaux du projet :
- il définit les objectifs et les livrables ;
- il a la responsabilité du budget ;
- il gère les opérations en fonction du calendrier ;
- il coordonne la communication entre les équipes de développement et le client ;
- il vérifie la qualité du produit livrable ;
- il s’assure que le produit final soit conforme aux attentes et aux besoins du client.
L’AMOA/AMOE est le mieux placé pour intervenir lors d’éventuels conflits entre les équipes.
La gestion de foule
C’est en s’appuyant sur l’Intelligence Artificielle (AI) que Mathieu Sbai se montre compétent pour résoudre le problème de gestion de la foule lors des pèlerinages à La Mecque. L’objectif consiste à gérer une foule de plus de 2 millions de personnes afin de permettre à chacun d’accomplir le hadj en toute sécurité.
ll développe un programme de gestion de foule, permettant de mieux répartir les pèlerins en régulant le flux de la circulation piétonne. Le logiciel analyse les données recueillies en temps réel et gère les fluctuations. Tout en tenant compte des facteurs collatéraux comme la météo et la fatigue des pèlerins, il recense le nombre de pèlerins en marche vers La Mecque et identifie les attitudes inappropriées et les comportements gênants, tels que la circulation à contre-sens. Ces informations permettent d’apporter des solutions altruistes et efficientes.
Les autres missions
Audit de l’exposition universelle de Dubaï en 2020
Les organisateurs qui souhaitent que cette exposition soit la plus durable de toutes, dans le respect des objectifs de développement durables de l’ONU, emploient Mathieu Sbai comme consultant. Ce dernier va réaliser un audit et valider que tout est conforme pour que ce challenge se concrétise.
Il faut alors créer des infrastructures qui profiteront à la région bien après la fin de l’exposition, soit 182 jours.
Le site se transformera en un nouveau quartier, le « District 2000 » où 80 % des constructions seront réutilisées. D’autres seront démontées pour être rebâties ailleurs, comme le pavillon de France qui sera réinstallé à Toulouse.